Arrondire ses fin de mois.

[hrp : Faut bien qu'il y en est un qui post sinon jamais les gens viendrons]

Il était a peut prêt 20heure, heure a laquelle la dangerosité du quartier atteignait son apogée. Haniki y était pourtant, il marchait d’un air las, comme tout le monde ici d’ailleurs. La fameuse rue des pécher, était bien sombre, et aussi bien crasse, aucun service de nettoyage ne passait plus depuis longtemps, même la police n’ose s’y aventuré, c’était l’anarchie, une ville dans la ville.
Dealer, prostitué, membres de gang, mafieux et autre trafiquant font leur lois, et leur ‘’commerce’’.
Haniki tourna a droite et alla vers une espèce de petite boutique gardé par un groupe de six personne armé de couteau et d’arme contendante, ceux-ci laissèrent entré Haniki.
A l’intérieur de ce magasin se trouvait quelques étagères sur lesquels étaient disposé des centaines de boite et bouteilles au contenant assez douteux. Il n’y avait presque pas de lumière, mais l’on pouvait également distingué un petit homme aux allure étrange qui nourrissait un petit singe dans une cage.
Celui-ci se retourna et salua Haniki lorsqu’il se rendit comte qu’il était là, il eu pour seul réponse a grognement.
Puis Haniki s’approcha de lui et se mit a parlé a voix basse.

-Votre singe n’a pas l’air heureux…

Le petit homme répliqua d’un air concentré.

-Oui, c’est le problème lorsque l’on enferme ce genre de bestiole.

-Ils ont besoin de liberté.

Puis l’homme tendit sa main et Haniki la lui serra. Cette réplique était en faire un mot de passe. Haniki se tourna alors vers la réserve puis vers son interlocuteur.

-Où est la marchandise ?

Il répondit d’un air assez méfiant et interrogateur, car ce dont parlait Haniki était quelque chose d’assez délicat.

-Sans vouloir être indiscret, pourquoi avez-vous besoin de ceci ? En vue des quantité je tien a vous prévenir que …

Haniki le coupa directement et commença a lui expliqué qu’il ne voulait pas en parlé, et qu’il était ici uniquement pour prendre sa livraison. Le petit homme alla alors dans la réserve et ramena un sachet transparent contenant de la poudre verte fluo. Haniki le prit et le mit dans une de ses poches, et ressortit d’une autre poche une liasse de billet qu’il jeta dans les mains du commerçant.
Ensuite il ressortit et traversa la rue, mais cette fois-ci il se montra plus méfiant envers les gens qu’il l’entourait, car certaine personne l’avait observé rentré puis sortir de la boutique.
Apres quelques minutes, quelqu’un interpella Haniki, c’était un personnage plutôt répugnant, et relativement menacent, il commença à parler en pointant un pistolet.

-Je sais que tu as de l’argent, et tu va gentiment me le donner !

Haniki répondu blasé.

-non.

-Joue pas au malin, c’est pas la peine de te la pété devant moi et de me sortir un : Tu n’osera pas tirer, aller donne le fric maintenant.

-…

Haniki se retourna et mis un grand coup de bottes rapidement sur la main de cet individu, ce dernier lâcha son arme et commença a s’énervé en voyant que son pistolet était maintenant a une dizaine de mettre de lui. Il siffla alors et quatre autres personnes apparurent.
Haniki pensa qu’il s’était de toute façon fait remarqué, alors il pouvait se permettre de les tuer, après tout qu’il s’en souci ?
Il plongea alors ses mains dans son par-dessus et sortit deux uzis, et mitrailla partout autour de lui, ne répandant que la mort et le chao, même si la mort et le chao ne change pas grand-chose a la rue et a son ambiance.
Haniki sortit alors son paquet de cigarette et en alluma une et se mit a parler aux cadavres.

-…bah alors ? C’est tout ? Aaaaah tient tient…

Haniki mit son pied sur un des corps, qui se mit a tousser, il constata que celui-ci n’était pas mort, enfin pas encore, car il était bien amoché, et par chance c’était celui qu’il l’avait menacé. Haniki s’agenouilla a côté et d’une voix sadique lui dit.

-…Tu sais…Tu fait un super cendrier...

Puis il commença à jeter la cendre encore brûlante de sa cigarette dans la bouche ouverte de ce pauvre homme mourrant.
Une fois fini celui-ci était déjà mort. Alors Haniki décida de retourné chez lui, en espérant n’avoir aucune mauvaise surprise durant son retour, car il avait faim et était pressé de rentré chez lui.