Attendres les ordres ? Non !

Haniki s’ennuyait fermement, a tel point qu’il alla au QG, afin d’essayer d’avoir une mission directement du chef au lieu d’attendre un ordre bêtement comme d’habitude.
Il entra dans les bureau de la SEE, c’était plutôt calme, en se moment il n’y avait rien a faire et la majeur partit des membres de la section restait chez eux. Il croisa tout de même un officier dans le couloir principale, Haniki l’interpella, et lui demanda où il pouvait trouvé le chef.
Intrigué l’officier lui demanda pourquoi un membre supérieur venait ici, Haniki répondit simplement qu’il s’ennuyait, ensuite l’officier lui demander d’allé voir au bureau du chef.
Apres quelques couloirs Haniki y arriva, et frappa a la porte, mais pas de réponse, c’est a se moment là qu’une des secrétaire qui passait par là avec une tonne de paperasse lui demanda.

-Excuser moi, mais la chef n’étant pas là, pourriez vous m’aider a porter ceci jusqu’au bureau des information ?

*La ?*

Un peu lassé Haniki répondit.

-…Bwoarf, si sa peu vous rendre service…

Il prit alors la plus grande partit des dossier et l’accompagna jusqu’au bureau des renseignement, elle le remercia puis Haniki repartit vers son point de départ, sauf que cette fois-ci il prit une chaise avec lui.
Il mit la chaise devant la porte du bureau du chef, et s’essaya dessus les bras croisés. En attendant le retour du chef.
Mais après trois heure toujours rien, si ce n’est quelques personnes qui passait par ci et là dans les couloirs, la secrétaire de tout a l’heure repassa par la et intrigué qu’Haniki soit toujours là, lui demanda que ce qu’il faisait ici.

-Pourquoi vous êtes encore la ?

-J’attend le retour du chef pour lui demandé si il n’y a pas quelques choses a faire…En se moment il ne se passe vraiment rien et cela fait trois mois que l’on ne pas ma donner de mission.

-Vous désirez un café ? Cela vous aidera peu être a attendre.

-Oui, merci.

Elle alla lui chercher un café, puis ils continuèrent a discuter quelques temps avant qu’elle reparte.
Maintenant Haniki attendait là tout seul l’éventuel retour d’un chef qui devait aussi chercher quelques choses a faire, comme tout le monde dans le service d’ailleurs.

*J'ai pas que sa a faire d'attendre chez moi un Email qui me dit aller ici et là, cette fois J'vais demander directement une mission...Et en profiter pour voir la tête de mon supérieur...jamais vue....*

Reiko ne trouve qu’une réponse a son problème d’ennuie, retourner dans son bureau, croiser les bras, et pensée a se qui lui venait sur le moment. Elle se retourna, et changea de direction, pour prendre celle de son bureau. Elle croisa une employer de service dit secrétaire dans se bas monde. Une belle femme qui devait être un peu plus âgé a que Widow, mais une femme gentille, attentif, et qui prend toujours son boulot au sérieux, elle se nommé Victoria Hollidan. Une femme qu’apprécié Reiko, et avec qui elle rigolé plutôt bien.
Bref, Victoria la salua et s’arrêta pour lui parler, elle lui expliquer qu’un officié supérieur, l’attendez devant son bureau, assis sur une chaise, en attente d’une mission, qu’il se plaignez de ne pas avoir de mission depuis plus de trois moi. Reiko posa un sourire amuser sur ses lèvres, ils était tous, que se sois officiés que salarié de bas étages à se faire chié dans le monde actuellement.
Reiko remercia Victoria et la laissa finir sont boulot, quand a Black Widow elle repris le trajet jusqu'à son bureau.

Arrivé jusqu'à celui-ci, Reiko vit l’homme assis sur sa chaise, il avait l’air a présent a moitié endormit, il était vrai que la secrétaire avait aussi dit, qu’il était assis depuis plus de quatre heures. Cela fit rire un peu la chef de la S.E.E. Elle s’approcha de se dernier et de sa voix familiale et habituelle, elle lui dit alors :

- Vous vous faite donc, tant chié que sa chez vous ? Le repos ne vous a pas l’air familier.

Reiko, changea soudainement d’expression, comme pour arrêter la plaisanterie qu’elle raconter. Elle ferma la yeux, et repris d’une voix plus stricte et plus soutenu.

- Bonjours, Officié supérieur Turenne Haniki de la section d’élite d’espionnage. Je suis Black Widow, chef de section général d’élite d’espionnage comme vous pouvez vous en douter. Je ne peu accès a votre requête. Nos ennemis de se manifeste pas. Il faut attendre… Attendre que le sang qui bouille dans cette ville explose.

Reiko passa devant l’officier et posa sa mains sur la poignet, elle l’appuyer, mais juste avant de pousser la porte, elle le fixa avec des yeux menaçant. Elle ouvrit la porte, et la laissa grande ouverte comme pour montrer a l’officié qu’il pouvait entrer. Le bureau était très vaste, de forme carré, avec la surface de fond, un mur de verre, entièrement de verre, ou on pouvez voir de cette vaste « fenêtre » une grande partit de la ville, Aeropolis. Les lumières qui donné l’ambiance a la pièce, était des néons bleu, sur les quatre coins au sol de la pièce, et positionné en rond, en plein milieu, sur le plafond. L’impression donné donner a cette pièce, n’était simplement qu’un autre monde. Du moins, la était le point de vue de la cyborg.
Il y avait un grand bureau de verre au fond prés de le grand mur vitré, et un siège a roulette noire.

Haniki vit la chef arrivé, sa silhouette lui disait quelque chose, mais il se dit que c’était parce qu’il avait déjà dut la voir sans faire attention. Puis elle arriva a son niveau et commença lui parlé d’une vois familière avant de lui dire plus sérieusement qu’il n’y avait rien a faire et qu’il pouvait rentré chez lui. Puis elle le regardait fixement dans les yeux, de façon assez menaçante.
Là Haniki se figea complètement, il avait l’impression de faire un bond sept ans en arrière, et sans pouvoir dire un mot elle repartit dans son grand bureau totalement vitré, mais Haniki ne bougeait pas lui, il était totalement congelé, a réfléchir, cette jeune femme, était le sosies, le clone trait sur trait de sa défunte compagne, la même taille, la même voix, les même yeux…
Il regardait ses mains tremblé, pourquoi cette ressemblance ? Il voulait savoir, alors il posa sa main sur son pistolet de service et frappa à la porte, et entra sans attendre de réponse, en dégainant son arme.
Le bureau était éclairé au néon bleu, et offrait une vue splendide, sur une ville en proie a l’anarchie.
Il savait que cet acte était assez périlleux, et que cela lui apportera des ennuis, mais il n’en avait que faire, il devait savoir.
Sans attendre de réaction, il se mit a lui parlé rapidement.

-Vous,….Chef….vous ressemblez étrangement a quelqu’un que je connais très bien, et…Ce n’est pas vraiment normal…

*...pas normal du tout...*

Haniki marqua une pose dans son dialogue, et enleva la sécurité de son arme.

-… étant donné que cette personne est morte depuis plus de sept ans !

Ses mains se mirent a tremblé, ses yeux exprimaient la rage, mais aussi la peur, sa voix avait fini par être branlante, peu rassuré.
Il n’était plus un officier supérieur, mais un homme entré dans l’incertitude la plus totale.
De nombreuse question vinrent à l’esprit, mais une seule, une seule de ses question lui échappa et fut poser.

-Pourquoi ?....

Maintenant il attendait de voir si elle allait répondre, quelle allait être sa réaction, mais surtout, si ce qu’il venait de faire n’allait pas tout simplement le mener a sa perte.

Reiko, qui était assise sur son siége vit l’homme entrer, avec son arme à la main. Il la pointa sur elle, et se mis a parler d’une voix tremblante, il était troublé sa il n’y avait aucun doute, il parler d’une femme qui lui ressembler énormément, une femme décédée il a 7 ans.
7 ans, la date de mort et la date de création en tant que cyborg de Reiko. La femme resta un moment en pleine réflexion. Elle n’eu que peu de temps pour comprendre qu’il connaissé la Reiko qu’elle était avant son décès en temps qu’humaine. Elle baissa la tête, ferma ses yeux, et se leva doucement de son siège, posant ses deux mains sur son bureau. Elle releva lentement son visage, et ouvrit ses yeux comme une poupée ressortit de l’haut delà. Elle fixa l’officier Haniki Turenne de haut en bas, jusqu'à le fixé droit dans le blanc de ses yeux.
Elle lui répondit d’une voix sans égale :

- Cette arme ne vous servirait a rien. Peu un porte vos ennuie passé, se ne sont pas mes affaires. Je comprend votre problème, je comprend votre anxiété et votre peur de cette vue. Mais comme chaque être, pouvant avoir un minimum de réflexion, j’ai des problème. Se n’est pas pour autant que je menace quelqu’un avec mes armes. Surtout pas quelqu’un de bien supérieur…

Reiko se leva droite, et s’approcha de la fenêtre, elle posa l’une de ses main dessus. Et fixa le ciel sombre de cette ville. Elle se retourna et fixa de nouveau l’homme bouleversé, et rajouta :

- Je ne peu malheureusement répondre a vos question…

Reiko s’avait qu’elle mentait, elle pouvait répondre à la perturbation de l’homme. Car il y avait une grande chance que, la femme dont il parler, sois la Reiko humaine du passé. Mais, la chef de la S.E.E. ne préféré pas comprendre, car au fond, elle avait peur de comprendre son passé, de savoir qui elle était, comme elle était, les gens qu’elle connaissé, son père, et bien d’autre chose rappelant sa vie passé.
La secrétaire entra dans la pièce, ou la porte était encore grande ouverte. Elle vit l’homme avec son arme pointé sur la chef. Ne comprenant pas se qui se passé, et prenant peur de la scène, elle lâcha son plateau avec une tasse de thé dessus, qu’elle apporter a un bureau proche. Elle se précipita de se pencher pour ramasser les débris de la tasse, d’une voix perturbé.
Reiko parla alors à la bonne femme :

- Victoria ! Ne ramasse pas sa avec tes mains, quitte la salle stp… Je ramasserai.

La femme s’empressa alors de se redresser et quitta la pièce en refermant la porte derrière elle. Reiko fixa de nouveau l’homme, elle s’approcha de lui, jusqu'à que l’arme que l’homme pointé toucha son estomac. La cyborg rajouta alors :

- A quoi sa te servirai, de tiré ? brisé une vie ? te tuer toi-même ? crée la guerre en se monde ? acte de vengeance non justifié ? Non… Se serait si stupide…

Haniki ne disais plus rien, son pistolet tremblant, visait toujours ces jeunes femmes calmes et impassibles, elle alla même contre la fenêtre, avant de se retourner et dire qu’elle ne pouvait lui répondre.
Cet a se moment là que la secrétaire de toute a l’heure passa dans le couloir et remarqua la scène, elle fit tombé son plateau, mais avant d’avoir le temps de ramassé le thé qu’il y avait par terre, la supérieur l’arrêta et lui dit qu’elle ramasserai après.
Ensuite elle s’approcha d’Haniki, a tel point que l’estomac de celle-ci était juste au bout du canon du pistolet.
Et elle rajouta alors que cela ne servirait a rien de tiré, en résumé, ce que faisait Haniki était belle et bien stupide, mais que faire, après tout il était humain.
Haniki retira le chargeur de son arme et il se mit alors à lui parler en la tutoyant, il était a bout de nerf.

-Tu as raison, cet inutile, c’est stupide.

Du coup il recula de quelques pas, son regard c’était figé sur le sien, et au lieu de lui tiré dessus, il pointa son arme contre sa tête et tomba a genou.
Pour un officier c’était quelque chose d’inhabituel, mais pour Haniki c’était une première, de toute manière avec ce qu’il venait de faire sa carrière en tant que militaire était assez compromise.
Il se mit a réfléchir, quelques instants seulement, avant de dire.

- Mon arme n’a plus qu’une seule balle…Jamais je n’aurais pensé en arrivé là, mais la vie peu parfois réservé quelques surprise.

Haniki tourna ses yeux en direction des fenêtres, il regardait la ville, sombre, glacial, où en était l’humanité, confiné dans cette simple ville, entouré de terre invivable et désolée.
A quoi bon continué se disait t’il, la vie ne valais plus d’être vécu. Et d’ailleurs il se mit a se parler.

-Cette terre, ses gens que je me suis toujours juré de protégé, a quoi bon ? Nous sommes tous condamné de toute manière…Il y a sept ans maintenant que j’ai perdu ma seule raison de vivre, alors plutot que d’attendre bêtement la mort chez moi, ou mourir en mission autant en finir maintenant ![

Quelques larmes commencèrent à couler sur ses joues, ses yeux étaient rougie, injecté de sang.
Pourtant il ne semblait pas pressé d’appuyer sur la détente, et puis il se dit finalement, qu’il fallait que son interlocutrice sache pourquoi Haniki était dans cet état après l’avoir vue. Et bizarrement il l’a tutoyait toujours.

-Tu ressemble…a la femme que j’ai aimé et qui est morte en mission, sans que je puisse rien faire, je m’en suis toujours voulu…de ne pas avoir été là quant elle avait besoin de moi…Depuis sa mort, je ressent un grand vide, je me sens seul…

Il se mit a pleurer, mais respira un grand coup, afin de se préparé a tiré.

L’homme en face de Reiko compris qu’il ne pouvait tirai sur la femme. Il recula complètement perturbé de quelque pas, et fini par son poids, et son manque de force sous le choque, de tomber sur ses deux genou, tenant son arme à la main. Il la pointa sur sa tempe. Et d’un regarda désespéré il parla a Black Widow, ou du moins, il parler seule, a lui-même.
Il fini par expliquer pourquoi son comporter comme celui ci, c’est bien se a quoi Reiko penser, elle ouvrit grand les yeux, comme vaguement bouleversé. La peur lui envahi son corps pendant un instant, mais sont instinct de survit était plus relever, elle repris sont calme en quelque seconde.
Elle vis comme l’homme se préparé a tirer. Cette dernière par simple réflexe, sortit ton arme, et lui tira dans la main qui porter l’arme. L’arme tomba plus loin. Afin que l’homme ne se relève pas non plus, il lui tira une autre balle dans les genou. Le bruit des deux coups de feu avait était ressentit dans les couloirs. C’est Victoria, qui entra précipitamment dans la salle. Soupirant un grand coups en voyant que Reiko n’avait aucune égratignure. Elle resta figé à la porte en voyant l’homme.
Reiko lui parla alors, tout en rangeant son arme :

- Va chercher des secours…

La secrétaire s’empressa de sortir de la pièce, pour appeler les secours. Quand à Reiko, elle se baissa et fixa l’homme. Elle eu un léger sourire qui cacher un visage triste. Elle lui parla alors a voix basse et douce :

- Celle qui faisait chavirait votre cœur… comment s’appeler t’elle ?

Les secourt arrivé, sans que l’homme n’eu le temps de répondre a la question de Reiko Reiko se redressa, deux médecin d’approchés et posés un brancard a coté de Haniki Turenne. Ils le mirent très vite dessus et le soulevée. Reiko s’approcha de l’officié très mal en point. Et lui posa son arme sur le ventre. Elle eu un léger sourire et rajouta alors que les médecins sortait de la pièce :

- Personnellement… Je m’appelle Reiko. Reiko Jigoku.

La porte de la pièce se referma, Reiko avait dit cette dernière phrase a l’homme pour l’aidé a comprendre, mais si au fond, la cyborg savait qu’il n’avait pas d’espoir pour lui. Elle se retrouver de nouveau seule a l’intérieur. Elle s’approcha des débris de verre de la tasse, et en ramassa quelque uns dans sa main. Elle fini, par regardait par la fenêtre a l’autre bout de la pièce. La lune, ou bien même le soleil, qu’on ne voyait plus depuis bien longtemps.
Reiko s’approcha de son bureau, et commença a travaillé de nouveau, en lisant une tonne de pile de papier, pensant a se que la mafia et les rebelles pouvait bien faire. Sous la couleur rouge, des néons qui venez d’être modifié.