I want... (PV: Haunui Squall)

Et voila, l’ennuie de Reiko continué de lui bouffer les os. Elle pris donc un jours de repos, laissant derrière elle, sur son bureau, toute les collines de feuille qu’elle avait regarder et signé, ou d’autre encore non lue. Reiko était fatigué, elle en avait un peu marre de tout sa. C’était pourquoi elle avait pris sa journée, pour se reposer. Ou du moins, sortir du quartier général de l’armée. Elle habillé des plus normalement, du moins, se qu’elle aime appeler normal. Elle portait biensure quelqu’une de ses armes sur elle. Bref elle s’imprégné dans le décors des rues d’Aeropolis. Les habitant ne pouvait savoir qui elle était, puis que le visage du chef de la Section d’ Elite d’ Espionnage ne fût jamais vu. Sauf par certain membre de l’armée.

Elle se rendit, sur la place d’Aeropolis, cette vaste place, toujours remplie de monde, porter au milieu la statue de Vladimir Gurlukovish. Elle fini par arriver sur les lieux, portant ces lunettes de soleil qui ne lui servait strictement a rien, vue que en se temps, les rayons du soleil ne traverser plus les nuages. La femme fut assez surprise, cette endroit, ou on pouvez a peine poser les pieds, sans marcher sur celui de quelqu’un, n’était autre que déserte. Il y avait peu être deux ou trois marchand, un sans abri assis prés de la statue a demander des pièces au peu de personne qui passaient par là. Reiko marcha a pas ferme sur la place, et fixa le ciel. Se demandant si un jours le soleil aller de nouveau ramener la lumière dans la ville. Elle s’arrêta et resta figé par la vue de quelques oiseaux qui voler au-delà du ciel.

Dans ses pensées, Reiko ne vit pas le temps passé, et la place se vidait, jusqu'à devenir complètement déserte. Seul le pauvre homme était toujours sur le sol. Mais celui-ci regardait le vide d’un air bien triste. Avec sa boite de conserve, devant lui, ne comportant que peu de pièce. Un homme d’une trentaine d’années s’approcha de se dernier. Il sortit une arme, la pointa sur l’homme, et pris les pièces qu’il avait. Reiko fixait la scène avec froideur. L’homme armé cracha sur le misérable. Ce dernier se leva, voulant récupérer son argent.
L’homme pointa de nouveau sont arme sur l’homme, prés a appuyer sur la détente. Quand a Reiko elle sortit elle aussi son arme, la pointa sur le malfaiteur. Prête le buter sur place, un coup de feu se fit entendre. Les deux hommes pris par sursaut se retourné vers la bruit. Se n’était pas Reiko qui venait de tirait. Cette dernière sont le choque, tomba a genou sur le sol. Posant l’une de ses mains sur son épaule droite, elle venait de se faire tirai dessus. Heureusement pour elle, la balle ne l’avait que frôler déchirant simplement une partit de ses vêtements. Et tourna son visage en direction d’un homme portant une arme a la main.
C-16-S8 se releva rapidement prise par la rage de se lâche. L’homme avança de quelque pas. Et se mis alors à parler :

- Les femmes ne devraient pas porter d’arme, elles ne savent pas s’en servir !

Reiko ferma les yeux, trouvant l’homme si stupide à ses yeux. Mais son esprit s’énervé intérieurement, n’approuvant pas le faite qu’elle ses fait tirai dessus. Elle répliqua simplement en regardant l’homme :

- Je ne parlerai si j’ai t’es toi… m’avoir frôler… s’était pourquoi ? tu ne sais donc pas viser ? Ou peu être… non tu n’a pas les couilles de tirer par ce que je suis une femme ! Mon pauvre homme, l’a était l’erreur. Je vais te montrer se qu’une femme ses faire avec des armes a feu !

Elle sortit une deuxième arme de sa veste. L’homme qui s’attaquer au clodo, changea directement de cible. Et pointa son arme sur Reiko. Reiko se mi a courir sur le coté, et pendant se mouvement et pointa ses deux armes sur le premier des hommes, et lui tira dessus. L’homme se pris une des balles en plein cœur, et l’autre en pleine tête, il tomba en arrière, sa vie n’était a présent que poussière.
Reiko se rabatta sur l’autre homme. Ce dernier se mi a courir en direction de la grande statue. Il pointa pendant son mouvement l’arme sur Reiko qui s’était accroupi sur le sol. Et tira une balle qui frôla le visage de Reiko. Cette dernier, fixa sa cible, et tira, l’homme qui pourtant courait, fut toucher genou, il tomba sur le sol, et lâcha son arme. Reiko se redressa et se mi a marcha lentement dans la direction de l’homme. L’homme rampa sur le sol pour atteindre son arme qui était tombé un peu plus. Black Widow répliqua :

- La vie est si courte, un jour elle te porte chance, et d’autre ou tu portes la poisse sur tes épaules… Elle se retrouva face a l’homme et lui marcha sur la tête tout en continuent de parler : On peu dire que c’est le jours ou ta vie n’est qu’une merde parmi tant d’autre… Elle enleva son pied sur le sol, et rangea l’une de ses armes, elle pris l’homme par le col et le sous leva. Et en plus tu ne sais pas viser…

L’homme perturbé répliqua violant :

- Tu n’es qu’une Reiko pointa son arme sur sa tempe. L’homme arrêta de parler directement.

- Tu me fait tellement pitié comme sa. Je t’aurai bien laissé te viser de ton sang sur le sol, mais je suis pas aussi sadique que sa. Trouve une place la haut !

Reiko appuya sur la détente, lâcha l’homme qui était décédée sur le coup. Elle rangea son arme, et sortit un mouchoir. Elle s’essuya la main avec, et jeta le mouchoir sur l’homme. Elle s’éloigna du cadavre.

Haunui, sortait tranquillement de son travail officiel, qui était professeur à l’académie des science appliqué d’Aeropolis. Tandis qu’il marchais tranquillement, dans les petites ruelles de la ville, le professeur ce faisait abordé par des hommes voulant lui vendre de la came, sûrement des personnes travaillant pour lui qui l’ignorais, mais bien sur lui ne touchais pas à sa drogue, il savait ce qu’elle contenait, et elle rendais automatiquement accro, sa vengeance sur Aeropolis pour la mort de son frère était en cour, et n’était pas prête de s’arrêtée. Dirigé la ville ne l’intéressait pas, il laisserait cela à Gabriel son protégé, chef de la lumière de la Shinra, et l’une des rares personne à connaître son identité.

Le long moment de marche, qu’Haunui effectuer tous les jours pour rentré chez lui était loin d’être fini quand il arriva sur la grande place de la ville. Il haïssait cet endroit plus que tous les autres de la ville, cette place en général couverte de monde, d’hommes et de femmes plus stupide les uns que les autres, pressé d’allé de ce rendre à leurs travails, chez eux ou à tout autre endroit plus inintéressant que le précédent. Ce type de personne étaient parmi celle qui dégoûtaient le plus le physicien, ne vivant que pour sa petite vie sans ambition, sans imaginé l’ignorance dont ils font preuves, et même pire ce sentir intelligent pour certain.

Quand il passait sur cette place, le dégoût ce faisait à chaque fois sentir pour Haunui, mais cette fois si allais être différente. Alors qu’il approchait de la place, le professeur entendit des coups de feu, mais ce n’est pas cela qui allait l’étonner, lui qui avait grandis dans les endroits mal famé d’Aeropolis, donc il continua sa route comme si de rien n’était, et il croisa un homme, plutôt maigre et mal habillais qui courait, comme pour s’éloigner de la place.

Mais une fois sur la place, une chose attira son regard, une femme venais d’abattre de sang froid un homme qui était à terre, comme si cette personne n’était qu’une simple mouche sans importance, Haunui était impressionné et même attiré par cette femme. Physiquement âgé d’environs une bonne vingtaine d’année, elle était plus petite que lui, mais malgré le fait que l’on ne voit pas ces yeux elle était avait attiré le professeur au premier regard, plus pars sont acte que pars son physique, qui était, on ne pouvais le nier, attirant.

L’idée que la jeune femme ce retourne contre lui, n’effleura même pas l’idée de Haunui, la raison était inconnu mais il était persuadé qu’elle ne le ferrais pas, et puis si c’était le cas, elle l’aurais déjà fait, et le ’’professeur qui rentrait tranquillement chez lui’’ ne serais sûrement plus de ce monde, et même plus comme attiré par cette femme, il s’avançais vers elle, alors qu’elle venais de tuer un homme sous ces yeux, pour la deuxième fois de sa vie, Haunui perdait le contrôle de sa vie.

Alors qu’il arrivait près de la jeune femme, qui l’avait remarqué, il tendu ces mains vers elle, et retira les lunettes de cette personne inconnue.

Haunui Squall : C’est bien ce que je pensais, il n’y a aucun regret de votre acte, aucune once de remords, aucune culpabilité, aucune peur sur ce qu’il pourrais vous arrivé, dans votre regard, mais malgré tous votre regard parait vide, comme si une chose manquais dans votre vie, ou que l’ennuis vous rongeait de l’intérieur, vous êtes belle et un tel vide dans votre regard est bien dommage, mademoiselle.

Haunui avait dit sa, comme si il savait ce qu’il ressentais, mais au fond il ce souvenait de ces année passé en prisons, à déprimé seul dans sa cellule, loin de son frère. Cette solitude qu’il avait presque perdu depuis qu’il avait rencontré Gabriel, certes biologiquement ce n’était pas son petit frère mais pour lui c’était la même chose. Mais une autre chose lui paraissais bizarre, comme si il y avait une sensation qu’il ne connaissait pas qui trottait dans son corps, et il était persuadé que cette jeune femme y était pour quelque chose.

Reiko regarder le sol tout en s’éloignant de la carcasse dans âme de l’homme a terre. Elle fixa après l’horizon et vit un homme qui arrivait en sa direction, un homme habillé comme un citoyen des plus normal, avec un âge incertain. D’assez court cheveux bleutés. Reiko n’y fit pas attention, pensant que l’homme traversé tout simplement la place pour un point quelconque. Elle ne se sentit même pas menacer. Pourtant, il était possible que l’homme est tout vue. Mais peu lui importer.

A sa plus grande surprise, l’homme s’arrêta devant Reiko, tendu ces mains qui sa aller en direction du visage de la femme. Reiko mis un de ses pieds en arrière. Comme pour reculer un peu, l’homme lui retira ces lunettes. Il se mis a parler, il parler se que ressentait Reiko. Un vide ? De l’ennuie ? Tout était vrai. L’homme lisait dans les yeux écarquillé et d’un rouge brillant qui était plutôt étonner, et a vrai dire perturbé de l’acte de l’homme. Jamais quelqu’un ne lui avait fait sa, ou du moins, depuis qu’elle vivait sa nouvelle vie. Cet a dire 7 ans.
Elle resta ému un cour instant pour reprendre très vite ces esprits. Elle fixa l’homme dans les yeux, des yeux bleu comme le ciel qui n’est plus de se monde. Reiko voyait son reflet a l’intérieur, elle eu l’impression de se retrouver dans un monde plus beau que ce qui lui était offert. Quand elle se regarder dans un miroir, ou a travers le reflet d’une vitre, et qu’elle voyait son reflet dans yeux, c’était un monde de flamme, un monde sortit tout droit des enfers. La couleur vive, et claire des yeux de l’homme lui donnait un léger sourire.
Elle recula d’un pas, et se mis à parler de sa voix normale :

- Je ne regrette jamais quand je tue des hommes aussi pathétiques que cela… Je ne me fis pas au future… Vivre au jour le jour…

Malgré se qu’elle pouvait dire est pensée, le mot « tuer » menacer son cerveaux. Et Reiko ne voulait pas cela. Pourtant, elle ne pouvait s’empêcher d’appliquer cette règle de besoins sanglant. « se regard vide » disait-il, Reiko le savait bien, depuis pas mal de temps elle portait ce regard, la solide aussi régné dans le corps de Reiko, a par Victoria, sa secrétaire avec qui elle parle souvent, il n’y avait qu’elle. Es le faite qu’elle sois cyborg ? Ou peu être tout simplement qu’au quartier général de l’armée le personnelle la craint sur le faite qu’elle sois chef de section général d’élite d’espionnage, réputé comme « une bête sanguinaire ». Il n’y avait que lorsqu’elle s’éloigner de son habitat, ou de son travaille, qu’elle se sentait paisible, libre, les gens la prenait comme une femme des plus normal. Cela changer l’air à Reiko. Ce bien être, cette personne qui se portait en face d’elle, la fit sourire de nouveau. Un sourire des plus paisible et tout aussi sensible a la fois. Un regard qui lui donnait confiance, un regard qui la perturba, un regard qui la faisait comme rêver.

Reiko qui fixait l’homme droit dans les yeux, fini un peu gêné, par détourner son regard, vers un oiseau, au plumage bleu et au petit bec jaune, c’était les rares beauté qui rester de se monde, picoré des miettes de pain qu’une vieille femme le sourire au lèvre, assis sur un banc un peu plus loin, jeter sur le sol.

Après avoir retiré les lunettes de la jeune femme, et dit ces paroles, Haunui senti le regard de la jeune femme, plonger dans ces yeux, ce qui procura une bref sourire sur le visage de cette dernière, ce qui emplit de joie le jeune homme. Faire sourire cette personne alors qu’il y avait quelque instant son regard était vide comme le monde actuel, était l’un des rares chose qui lui procurait de la joie, mais une chose troubla Haunui, la jeune femme avait arrêté de sourire aussi vite qu’elle avait commencé.

Reiko : Je ne regrette jamais quand je tue des hommes aussi pathétiques que cela… Je ne me fis pas au future… Vivre au jour le jour…

Ces paroles, auraient pu parfaitement sortir de la bouche de Haunui, lui qui haïssais la race humaine, avait enfin rencontré quelqu'un qui pensais comme lui, à une différence près, lui il planifiait tous, il était calculateur par excellence, et ne laissais rien au hasard, à par peut être cette rencontre. Cette pensé de devoir improviser, effleura l’esprits du jeune homme, un petit peut existé par cette idée, il continuait de regarder cette femme, qui l’intriguait, rencontrer une personne qui lui ressemblait tant pars ses actes que par ses paroles, ici sur la grande place d’Aéropolis, lui aurait parus impensable cinq minutes au par avant.

Alors qu’il fixait toujours la jeune femme, un sourire réapparu sur le visage de cette dernière, comme si celui qu’elle avait perdu avant ces paroles était de retour, comme de par magie. Les pensées qu’elle avait eues, après ses paroles, étaient inconnues d’Haunui, mais cela le satisfaisait car ce sourire était de retour. Elle commença à le fixé droit dans les yeux, ce qui ne gênait pas le jeune homme bien au contraire, mais très vite elle dégagea son regard, comme par gêne, vers une ville femme qui donnait à mangé à un oiseau, au plumage bleu et au bec jaune.

L’acte de cette vielle femme, qui apparemment venait d’arrivée, était exactement le genre d’acte qui faisait plaisir au jeune homme, le fait qu’un humain prenne soin d’une autre race que la sienne, était pour lui magnifique. Certes Haunui, était une personne hautaine, anti-humanité, méchante et plein d’autre défaut, mais il ne ferais jamais de mal à une autre espèce animal que l’humain, car l’état du monde, et de sa vie n’était pas leur faute. Haunui commença lui aussi à regarder cet oiseau, et la femme qui le nourrissait.

Haunui Squall : Heureusement qu’une telle chose existe encore dans notre monde, pour l’égayer, car peut de chose reste belle aujourd’hui, autant par les actes, que par la vision. Je n’avais jamais vu cette place aussi vide, et je ne le regrette pas, vu ce que je peut contemplé è l’heure actuel. Ha j’en oubliait les bonnes manières, excusez moi, je me présente Haunui Squall.

Les bonnes manières était une chose qui importait Haunui, lui qui avait apprit peut de chose de sa mère, essayait par-dessus tout de les appliquées, et cela en faisait partis. Après cette brièvement présenté, il ce remit à regarder la jeune femme comme si il attendait une réponse de sa pars.

L’homme qui se trouver devant Reiko se mis lui aussi a regarder la vieille femme et l’oiseau, ce dernier pris son envole, pour aller sans aucun doute vers d’autre terre. L’homme se mis alors a parler, il parler de se qu’il venait de voir. Tout Reiko penser de même. Il était vrai, des personnes comme cette vieille femme, des êtres comme cette oiseau au couleur vive, tout sa, toute les rares beauté que se monde réservé, disparaissait peu a peu. Tout laisser place a l’anarchie, à la pollution. Au gris, au noir… Les couleurs de se monde n’exister plus.
L’homme fini par se présenter, tout en s’excusant du manque de cette bonne manière. Reiko ne pu s’empêche de sourire intérieurement.
Elle le fixa, et lui répondit tout simplement :

- Le monde n’est plus se qu’il était. Les couleurs disparaissent… Et, les arcs en ciel… Se monde est pourrit de l’intérieur…

Reiko fixa le ciel, un instant, se laissant bercer par le vent. Et elle continua :

- Je me nomme Reiko… Reiko Jigoku !

Quand Reiko sortait dans les rues d’Aeropolis, et qu’elle donnait son nom, c’était bien celui-ci, son vrai nom. Les personnes de l’armée la connaissé seulement sous le nom de Black Widow. Et pas seulement le personnelle de l’armée. La chef de la section d’élit d’espionnage était seulement connu sous se pseudonyme. C’est pour cela, qu’elle n’hésite pas à dire son vrai nom aux personnes extérieures.
Bref, C-16-S8 détourna son regard de l’homme, elle fixa l’oiseau, qui était posé sur la statue de l’ancien dictateur. Elle fixa par la suite de nouveau l’homme, le regardant de haut en bas, sa façon de s’habillé, simple costard, chemise blanche en dessous, sa façon de se coiffer, de manière plutôt classe et simple.
Reiko fini par se poser une question, cette homme n’avait pas l’air d’avoir peur d’elle, après la façon dont elle avait abattu les hommes, il ne fit aucune réflexion. Il ne prenait pas peur, il n’y était pas n’en plus dégoûter, au contraire, c’est comme si sa l’attirer. La cyborg fini par parler :

- Comment se fait-il que vous ne soyez pas effrayer ? ou bien même dégoûter, sur le faite que j’ai habitué deux personne deux sang froid ?

Il était vrai, une personne des plus normal, ne serait pas aussi tranquille que lui dans c’est condition. Cacher t’il quelque chose de particulier ? Reiko aller peu être le savoir, mais pour l’instant peu lui importer, elle ne pu s’empêcher de sourire a nouveau, rien quand voyant les yeux bleu ciel de l’homme.

Reiko Jigoku : Le monde n’est plus se qu’il était. Les couleurs disparaissent… Et, les arcs en ciel… Se monde est pourrit de l’intérieur… Je me nomme Reiko… Reiko Jigoku !

La jeune femme répondit d’une façon assez personnel à Haunui, mais ceci plaisais à ce dernier, Reiko…Jigoku, ou dans le langage occidental enfer, ce nom sonnait bien, enfin c’est ce qui semblait au jeune homme. Après sa phrase la jeune femme avait placé une petite pose et en avait profité pour regarder un oiseau posé sur la statue du cher dictateur d’Aeropolis, un homme de plus dont Haunui devait ce débarrasser.

Effectivement les plans du jeune homme étaient tous tracés à l’avance, et rare étaient les fois où il devait improviser mais au fond cela ne le dérangeait plus, le séjour qu’il avait passé dans la prison considéré comme la plus violente au monde lui avait fait prendre conscience qu’il pouvait lui, malgré tout, faire des erreurs et qu’il fallait les accepter pour avancer, et la rencontre de cette soirée ne faisait que de conforter son idée, si il n’avait pas décidé au dernier moment de traîner à l’université il n’aurait pas rencontré cette jeune fille.

Reiko lâcha du regarde l’oiseau qui était posé sur la statue, et commença a scruté Haunui, comme pour voir sa façon d’être, de s’habiller ou autre, mais ceci ne dérangea pas le jeune homme, au contraire être regardé par une si belle jeune femme, ne pouvait que lui faire le plus grand plaisir. Au bous d’un bref instant Reiko commença à parler.

Reiko Jigoku : Comment se fait-il que vous ne soyez pas effrayer ? Ou bien même dégoûter, sur le faite que j’ai abattus deux personnes deux sang froid ?

La question sonna comme un coup de tonnerre, Haunui n’était simplement jamais effrayer par une personne, et encore moins quelqu'un qui avait tuer deux autre humains, il était plutôt attiré vers ce genre de personne. Le manque de peur en cette situation venait peut être du fait qu’il avait souvent orchestré, voir même vu des assassinats, depuis l’age de 15 ans, et son attirance envers ce genre de personne sûrement du fait qu’il haïssait la race humaine, et ne souhaitais que la voir pourrir, et avait l’impression que les humain qui n’avait pas de remord à en tuer d’autre, le comprenait.

Haunui Squall : Comment ce fait t’il que je ne soit pas effrayer, voir même dégoûté par votre acte, je ne peut expliquer exactement les raisons, ou peut être je ne devrais pas le faire, aussi bien pour moi que pour vous. Mais par envie de vous répondre je dirait que c’est simplement que cet acte est pour moi comme un autre, si ces hommes vous avait agressé, la loi d’Aeropolis dit clairement que la légitime défense peut allé jusqu'au meurtre. Et puis bon a voir votre façon de bougé, de tirer, je ne pense pas que ce sont les premiers hommes que vous avez tuer, je me trompe ? Pour finir, peut être cette réponse vous fera peur, mais je lui plus attiré qu’effrayer.

La réponse de Haunui, avait été tellement longue qu’il espérais que la jeune fille n’en écoute que la moitié, pour ne pas avoir plus de question sur sa, de peur qu’il doive dévoiler une infime partie de son passé, car il ne voulait pas mentir à cette fille, il ne pouvais le nier, elle l’attirer et dans ce cas la, le mensonge n’est jamais le bien venu.

Pendant qu’Haunui était entrain de parler, de légère goûte de pluie firent leur arrivées comme pour déranger les deux personnes qui étaient entrain de parler.